Salam
C'est regrettable mais c'est la réalité que les assurances adoptent des prétextes archi faux pour refuser le remboursement de l'acte... ou bien exiger des conditions parfois handicapantes... Ce genre de traitement des dossiers au niveau des assurances n’est qu’un feed-back négatif, irresponsable, inefficace des responsables des services concernés approuvant que le personnel qui s’en occupe, malmène le traitement des dossiers.
Mais en partie la responsabilité revient aussi à une part considérable aux ayants droits et des praticiens qui profitent aveuglement des remboursements des assurances privés : càd que les praticiens usent de la « négligence » des patients (qui souvent en « profitent » matériellement) pour s’acharner sur des thérapeutiques qui alourdissent les fonds des assurances qui adoptent des politiques radicaux inefficaces pour « lutter » contre cette augmentation des charges : par exemple réduire les plafonds annuels, réduire le taux de remboursement, exclusion de certains actes…
Mais en fin de compte, cette lutte est aveugle et elle rate totalement sa cible… ce qui provoque des incidents graves sur l’accès et la qualité des soins prodigués.
Tout en signalant, l’absence du contrôle de l’Etat et de son ministère en charge (santé publique) sur les assurances, même à travers l’édition d’un cahier de charge à respecter….
Bon courage...
PS : il a fallut que tu proposes ton sujet sur la rubrique vie quotidienne du chirurgien dentiste… mais c’est grave, l’essentiel c’est le profil que nous gagnons tous de ce genre de discussion constructif.